Mardi 4 novembre
21h
Mercredi 5 novembre
18h
Mercredi 5 novembre
21h
Jeudi 6 novembre
18h
Jeudi 6 novembre
21h
Vendredi 7 novembre
18h
Vendredi 7 novembre
21h
Samedi 8 novembre
18h
Samedi 8 novembre
21h
Dimanche 9 novembre
15h
Mardi 11 novembre
18h
Mardi 11 novembre
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Mercredi 12 novembre
18h
Mercredi 12 novembre
21h
Jeudi 13 novembre
18h
Jeudi 13 novembre
21h
Vendredi 14 novembre
18h
Vendredi 14 novembre
21h
Samedi 15 novembre
18h
Samedi 15 novembre
21h
Dimanche 16 novembre
15h
Conception et dispositif El Conde de Torrefiel. Mise en scène, texte et dramaturgie Tanya Beyeler, Pablo Gisbert. Avec Mireia Donat Melús, Mauro Molina, Isaac Torres. Scénographie El Conde de Torrefiel, Isaac Torres. Espace et matériaux El Conde de Torrefiel, La Cuarta Piel. Coordination et direction technique Isaac Torres. Création lumière Manoly Rubio García. Création sonore Rebecca Praga, Uriel Ireland. Création vidéo Carlos Pardo, María Antón Cabot. Techniciens en tournée Uriel Ireland, Guillem Bonfill, Roberto Baldinelli. Production et administration Uli Vandenberghe. Production exécutive Alessandra Simeoni – CIELO DRIVE SL.
Avec le soutien de l’ICEC – Generalitat de Catalunya (production) ; Festival TNT Terrassa Noves Tendències ; Teatre de Lloret
Coproduction Grec Festival de Barcelona ; Centro de Cultura Contemporánea Condeduque (Madrid) ; Maison Saint-Gervais (Genève) ; Teatro Municipal do Porto ; Festival d’Automne à Paris ; Festival delle Colline Torinesi (Turin) ; Contemporanea Festival (Prato) ; Kunstencentrum VIERNULVIER (Gand)
Remerciements Marta Azparren et son livre inspirant Cine Ciego, La Cuarta Piel, Regina Gisbert, Telas con Alma, Sergi Caballero, Los Reyes del Mambo, Salva Gisbert et Amalia Donat
Le Festival d’Automne est coproducteur de ce spectacle et le présente en coréalisation avec l’Odéon Théâtre de l’Europe.
La dernière création de la compagnie catalane El Conde de Torrefiel nous invite à fermer les yeux pour mieux les rouvrir. Elle révèle un espace où se rencontrent l’imaginaire du spectateur et la virtuosité de ce duo de créateurs hors norme.
« Ceci est un film », annonce une voix au début de la pièce. Le texte, décliné en voix off et en surtitres, nous plonge dans quatre histoires, quatre fragments de vies : une rencontre amoureuse lors d’un concert de Massive Attack (Manchester, 1995), un rendez-vous clandestin dans un cinéma (Athènes, 2012), une soirée dans la vie d’une biologiste transsexuelle (Paris, 2024), et une première à l’opéra (Venise, 2036). Quatre histoires étrangement entrelacées, car certains sont spectateurs ou lecteurs de la vie des autres. Quatre instants qui se prolongent dans la durée des récits inbriqués. Sur une scène dont le dépouillement et l’abstraction cristallisent notre imaginaire, la bande-son omniprésente scande les déplacements d’une scénographie composée de panneaux et d’écrans, qui voilent autant qu’ils révèlent. Dans La luz de un lago (La lueur d’un lac), Tanya Beyeler et Pablo Gisbert aiment brouiller les pistes, pour mieux interroger ce qui nous définit comme spectateurs.
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