Joël Pommerat

Les Petites Filles modernes (titre provisoire)

Nanterre-Amandiers – Centre dramatique national
18 décembredéc. – 24 janvierjan.
1/3

Création 2025

1H30

À partir de 12 ans

Tout public.

Tarifs 8 € à 35 €
Abonnés 8 € à 20 € 

Nanterre-Amandiers – Centre dramatique national

Jeudi 18 décembre

19h30

Vendredi 19 décembre

19h30

Samedi 20 décembre

18h30

Dimanche 21 décembre

15h30

Mardi 23 décembre

18h30

Mercredi 24 décembre

15h30

Vendredi 26 décembre

18h30

Samedi 27 décembre

18h30

Lundi 29 décembre

18h30

Mardi 30 décembre

18h30

Vendredi 2 janvier

18h30

Samedi 3 janvier

18h30

Dimanche 4 janvier

15h30

Mardi 6 janvier

19h30

Mercredi 7 janvier

19h30

Jeudi 8 janvier

19h30

Vendredi 9 janvier

19h30

Samedi 10 janvier

18h30

Dimanche 11 janvier

15h30

Mardi 13 janvier

19h30

Mercredi 14 janvier

19h30

Jeudi 15 janvier

19h30

Vendredi 16 janvier

19h30

Samedi 17 janvier

18h30

Dimanche 18 janvier

15h30

Mardi 20 janvier

19h30

Mercredi 21 janvier

19h30

Jeudi 22 janvier

19h30

Vendredi 23 janvier

19h30

Samedi 24 janvier

18h30

Une création théâtrale de Joël Pommerat. Avec Éric Feldman, Coraline Kerléo, Marie Malaquias. Scénographie et lumière Éric Soyer. Collaboration artistique Garance Rivoal. Assistanat à la mise en scène David Charier. Direction technique Emmanuel Abate. Direction technique adjointe Thaïs Morel. Costumes Isabelle Deffin Perruques Julie Poulain. Création sonore Philippe Perrin, Antoine Bourgain. Création vidéo Renaud Rubiano. Musique originale Antonin Leymarie. Régie son Philippe Perrin, Antoine Bourgain. Régie vidéo Grégoire Chomel. Régie lumière Gwendal Malard. Régie plateau Pierre-Yves Le Borgne, Jean-Pierre Constanziello, Inês Correia Da Silva Mota. Habillage Lise Crétiaux. Renfort costumes Jeanne Chestier. Renforts plateau Lior Hayoun, Faustine Zanardo.

Production Compagnie Louis Brouillard
Coproduction Théâtre National populaire ; Châteauvallon-Liberté, scène nationale ; Mixt, terrain d’arts en Loire-Atlantique ; Les Tréteaux de France – Centre dramatique national ; Théâtre Nanterre-Amandiers – CDN ; Espaces Pluriels – Scène conventionnée d’intérêt national Art et création pour la danse de Pau ; Festival d’Automne à Paris ; L’Azimut ; Théâtre Le Canal à Redon et la Drac Bretagne – ministère de la Culture ; Théâtre Le Bateau Feu Scène Nationale Dunkerque ; Le Théâtre de Suresnes Jean Vilar ; Théâtre français du Centre national des Arts (Ottawa) ; National Taichung Theater (Taiwan)
La Compagnie Louis Brouillard est conventionnée par la Drac Île-de-France – ministère de la Culture et la Région Île-de-France
Joël Pommerat et la compagnie Louis Brouillard sont associés au Théâtre Nanterre-Amandiers – CDN, à La Coursive – Scène nationale de La Rochelle, et au Théâtre National Populaire 
Les textes de Joël Pommerat sont édités chez Actes Sud-Papiers


Le Théâtre Nanterre-Amandiers – CDN et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.

Avec le soutien de

Dans sa nouvelle création, Joël Pommerat se plonge au cœur des mystères de l’enfance. À la manière d’un conte, il imagine la rencontre de deux jeunes filles prêtes à braver les lois du monde réel et l’autorité des adultes. Entre fantastique et réalité, elles luttent pour préserver leur lien face aux normes qui les contraignent.

 

Avec Les Petites Filles modernes, Joël Pommerat développe une forme hybride entre théâtre et roman, où les événements se racontent et se vivent simultanément. Il met en scène des évènements à la fois graves et naïfs, où le surnaturel serait pour ses personnages le seul moyen d’affronter des réalités inconcevables. À travers l’amitié inébranlable de ces deux enfants, il poursuit son exploration des liens intergénérationnels. Quels pouvoirs surnaturels de l’enfance peuvent s’opposer à l’autorité de la parole des adultes ? À rebours de Cendrillon, qui déconstruisait le merveilleux, Joël Pommerat et la Compagnie Louis Brouillard choisissent cette fois de l’embrasser pleinement. Ici, le magique, le fantastique et le surnaturel ne sont ni mis à distance ni parodiés : ils sont pris au sérieux, vécus au présent, et deviennent le cœur même de l’expérience théâtrale.‌