Marcelo Evelin Latifa Laâbissi

La Nuit tombe quand elle veut

Archive 2021
Danse

Conception, Latifa Laâbissi, Marcelo Evelin
Avec Latifa Laâbissi, Marcelo Evelin, Tomas Monteiro
Composition musicale, Tomas Monteiro
« Espace-costume », Nadia Lauro
Figures, Nadia Lauro, Latifa Laâbissi
Lumières, Chloé Bouju
Regard extérieur, Isabelle Launay
Le CND Centre national de la danse et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.
Production Figure Project
Coproduction Le Quartz – scène nationale de Brest ; ICI – Centre chorégraphique national Montpellier – Occitanie/Pyrénées Méditerranée ; Centre National de Danse Contemporaine – Angers – ACCN ; Théâtre National de Bretagne (Rennes) ; La Passerelle, scène nationale de Saint-Brieuc ; Le Festival de la Cité à Lausanne (Suisse) ; CND Centre national de la danse (Pantin) ; Festival d'Automne à Paris

 

Marcelo Evelin et Latifa Laâbissi proposent une collaboration en forme de traversée imaginaire et sonore : une veillée hallucinée en présence de trois créatures incandescentes, travaillant au corps les images, les voix et les états qui les traversent.

Traditionnellement, une veillée est un temps de rassemblement permettant de traverser le seuil symbolique qui unit le jour à la nuit. Pour cette collaboration de part et d’autre des cultures, la chorégraphe française Latifa Laâbissi et le chorégraphe brésilien Marcelo Evelin ont choisi de poser les conditions d’une veillée habitée : habitée par des voix, des chants, peuplée de présences flamboyantes et de fantômes lancinants. Avec La Nuit tombe quand elle veut, ils proposent aux spectateurs de les suivre dans une immersion perceptive ; la traversée d’une expérience intérieure en compagnie de trois figures aux aguets – moitié-vigies, moitié-pythies. Accompagnées du musicien Tomas Monteiro – dont le thérémine se fait l’amplificateur de leurs états imaginaires –, leurs présences mutent, devenant « des corps qui voient, encaissent, sédimentent, cannibalisent, archivent, enfouissent ». Démultipliés par l’espace incandescent de Nadia Lauro, la lumière qu’ils font miroiter, les langues qu’ils émettent, ces corps saturés d’images se fondent en une matière tumultueuse et malléable, en constante métamorphose.
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Carte blanche à Luyd Carvalho et Marllon Araújo
En première partie de soirée, dans le cadre du Portrait consacré à Lia Rodrigues, le Festival d’Automne s’associe au CND Centre national de la danse pour présenter deux soli et une pièce commune de Luyd Carvalho et Marllon Araújo, jeunes chorégraphes étudiants à P.A.R.T.S. (Bruxelles) et issus de l’École libre de danse de Maré de Lia Rodrigues.
Plus d’informations à venir sur cnd.fr

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Quelles voix nourrissent les pratiques artistiques ? En parallèle de l’exposition « Chantal Akerman. Travelling » présentée au Jeu de Paume, l’artiste Manon de Boer et la chorégraphe Latifa Laâbissi imaginent un espace dans lequel la voix et le geste cherchent à comprendre le sens des généalogies artistiques.

CND Centre national de la danse
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Cavaliers impurs Dans une installation visuelle de Nadia Lauro

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Après Consul et Meshie, Latifa Laâbissi et Antonia Baehr ont conçu un duo comme une série de séquences hétéroclites, tissées ensemble par le fil de l’impur, de l’hybridation et du collage. Mélangeant leurs vocabulaires respectifs – le rapport à l’expressivité du visage, au travestissement des genres, des registres, Laâbissi et Baehr entrelacent leurs univers au fil de numéros qui dynamitent les codes chorégraphiques et brouillent les pistes.

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Danse
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Depuis le Nordeste brésilien, le chorégraphe Marcelo Evelin invite à pénétrer une forêt métaphorique et sa condition écologique. Guidés vers le chant du légendaire Uirapuru, oiseau rare et menacé, six interprètes incarnent à travers une danse minimaliste, la promesse de découvrir ce qui est et se dérobe encore à nos sens.