François Chaignaud, Geoffroy Jourdain
Revue des Tumerels
20 décembredéc.
Samedi 20 décembre
00h
Direction artistique François Chaignaud, Geoffroy Jourdain. Avec Simon Bailly, Mario Barrantes-Espinoza, François Chaignaud, Florence Gengoul, Myriam Jarmache, Geoffroy Jourdain, Evann Loget-Raymond, Marie Picaut, Alan Picol, Antoine Roux-Briffaud, Vivien Simon, Maryfé Singy, Ryan Veillet, Aure Wachter, Daniel Wendler. Lumières et régie générale Anthony Merlaud. Régie son Aude Besnard.
Production Mandorle productions (Chloé Pérol, Jeanne Lefèvre, Emma Forster)
Coproduction Grand Palais ; Festival d’Automne à Paris
François Chaignaud est artiste associé à Chaillot – Théâtre national de la Danse, à la Maison de la Danse et à la Biennale de Lyon
Avec le soutien de Dance Reflections by Van Cleef & Arpels
Le Festival d’Automne à Paris est coproducteur de ce spectacle et le présente en coréalisation avec le Grand Palais.
« Tumer », en ancien français, c’est danser, s’agiter, tomber à la renverse. En compagnie d’un collectif de tumerels – chantant, dansant, se transformant – Geoffroy Jourdain et François Chaignaud ont conçu une revue facétieuse, qui circule entre les époques et les genres, du chant polyphonique aux variétés pour clore le Portrait et l’édition 2025 du Festival d’Automne.
Les tumerels, ce sont les membres d’une communauté d’interprètes réunie par Geoffroy Jourdain et François Chaignaud, qui s’est façonnée depuis 2020 autour de la pratique combinée de la danse et du chant. Ensemble, ils ont créé les spectacles t u m u l u s et In absentia – mises en voix, en corps et en mouvement de la musique sacrée de la Renaissance. Cette communauté chantante et dansante se réunit à nouveau pour clore ce Portrait – placé sous le signe de la collaboration et des voix plurielles. Pour l’occasion, François Chaignaud et Geoffroy Jourdain deviennent Frannie from the block et Mademoiselle Crapote – tour à tour performeurs, chanteuses, pianistes, maîtresses de cérémonie ; mobilisant les savoir-faire gestuels et vocaux élaborés par ce collectif, ils organisent une dérive joyeuse utilisant les codes du cabaret, célébrant la multiplicité des registres et des expressions de soi. Dans un jeu constant d’interactions avec le public, les interprètes passent d’un instrument à une danse, de la musique ancienne aux hymnes contemporains.
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