Ivana Müller

mirages et tendresses

La Conciergerie – Centre des monuments nationaux
5 – 7 décembredéc.
1/3

Création 2025

1H20

Avec l'Atelier de Paris / CDCN

Tarifs 8 € à 20 €
Abonnés 8 € et 12 €

Vendredi 5 décembre

19h30

Samedi 6 décembre

19h30

Dimanche 7 décembre

19h30

Concept, chorégraphie, texte et mise en scène Ivana Müller. En collaboration et avec les interprètes Julien Lacroix, Clémence Galliard, Louise Phelipon, Jérémy Damian. Scénographie Élodie Dauguet, Ivana Müller. Son Olivier Brichet. Régie générale Thomas Laigle. Collaboration artistique Baptiste Lochon. Administration et production Anne Pollock. Logistique et coordination Capucine Goin. 

Coproduction Le Pacifique CDCN Grenoble – Auvergne-Rhône-Alpes ; Festival d’Automne à Paris ; Atelier de Paris / CDCN ; les SUBS ; Tanzfabrik (Berlin)
Avec le soutien de la Ménagerie de verre 
La compagnie ORLA est conventionnée par la Drac Île-de-France – ministère de la Culture

L’Atelier de Paris / CDCN et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation avec le Centre des Monuments Nationaux.

Dans un contexte de crise du commun où les expériences physiques et poétiques collectives se raréfient, Ivana Müller invite à retrouver le goût du faire ensemble, à construire un lieu de soin, d’attention et de relation.

 

mirages et tendresses propose à un groupe de spectatrices et spectateurs de faire l’expérience d’une pratique collective : la construction et l’imaginaire d’un espace partagé où la solidarité devient une action concrète, où chaque personne agit, soutient, s’ajuste, contribue, transforme. À l’aide de pelotes de laine et de tasseaux de bois, artistes et participants donnent forme, de manière empirique, à une structure qui se tisse, se négocie, s’élève peu à peu, grâce aux gestes, aux choix et à l’élan collectif de chaque participant. Inspirée par le concept de tenségrité – principe de tension où chaque élément dépend des autres – l’architecture devient un terrain d’expérimentation sensible où se jouent les gestes d’entraide, d’écoute et d’attention. Chacune et chacun y est libre de participer, de s’éloigner, d’observer ou de rêver. Comme un rhizome vivant où les corps, les voix et les imaginaires s’entrelacent, se construit un « commun » : un refuge éphémère, une utopie à échelle humaine, guidé par l’élan de tenir encore, ensemble.