Lundi 8 décembre
19h
Lundi 8 décembre
21h30
Jeudi 11 décembre
19h
Jeudi 11 décembre
21h30
Samedi 13 décembre
19h
Samedi 13 décembre
21h30
Lundi 15 décembre
19h
Lundi 15 décembre
21h30
Mardi 16 décembre
19h
Mardi 16 décembre
21h30
Jeudi 18 décembre
19h
Jeudi 18 décembre
21h30
Direction artistique, chorégraphie, conception son et lumière Nacera Belaza. Avec (en cours) Paulin Banc, Aurélie Berland, Pierre Morillon, Magdalena Hylak et un groupe d’amateurs. Régie son et lumière Christophe Renaud, Marco Parenti.
Coproduction Musée du Louvre ; Festival d’Automne à Paris
Avec le soutien de la Ménagerie de verre ; MC93 – Maison de la Culture de Seine-Saint – Denis ; CND – Centre national de la danse
Le Musée du Louvre et le Festival d'Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation, en association avec le Musée du Quai Branly-Jacques Chirac.
Pour la quatrième création de la collection de performances contemporaines du Musée du Louvre et du Festival d’Automne, Nacera Belaza présente Les Ombres. Elle investira la Galerie des Cinq Continents à l'occasion de sa réouverture, dans une présentation repensée des collections, en dialogue avec les œuvres du musée du quai Branly-Jacques Chirac.
Nacera Belaza a développé dans ses Processions – en parallèle de ses créations au plateau – une pratique du hors-scène, impliquant le public. S’inspirant de cette recherche, les spectatrices et spectateurs du Louvre déambuleront dans la nouvelle Galerie des Cinq Continents, accueillant les œuvres extra occidentales de l’ancien Pavillon des Sessions, désormais présentées en dialogue avec des œuvres des autres départements du musée, et tissant une horizontalité sensible et décentrée entre les continents et les cultures. Entourée d’un groupe élargi d’interprètes, ainsi que de jeunes amateurs et amatrices, Nacera Belaza s’inscrit dans la démarche politique et esthétique de transformation du musée, et propose une relecture sensible du mouvement et des mémoires. Ce dialogue silencieux entre les corps mouvants des danseurs et la matérialité des œuvres capte l’énergie et l’aura des objets pour nourrir une performance empreinte d’onirisme et d’intime, où la danse, et l’oscillation entre ombre et lumière qu’elle engage, éclaire les collections sous un jour singulier.
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