Philippe Quesne

Le Paradoxe de John

La Commune, centre dramatique national d’Aubervilliers
7 – 16 novembrenov.
Théâtre de la Bastille
26 novembrenov. – 6 décembredéc.

Première mondiale

1h30

Tarifs 8 € à 26 €
Abonnemés 8 € à 19 €

Vendredi 7 novembre

20h

Samedi 8 novembre

18h

Dimanche 9 novembre

16h

Mercredi 12 novembre

20h

Jeudi 13 novembre

20h

Vendredi 14 novembre

20h

Samedi 15 novembre

18h

Dimanche 16 novembre

16h

Mercredi 26 novembre

20h30

Jeudi 27 novembre

20h30

Vendredi 28 novembre

20h30

Samedi 29 novembre

18h

Lundi 1 décembre

20h30

Mardi 2 décembre

20h30

Mercredi 3 décembre

20h30

Jeudi 4 décembre

20h30

Vendredi 5 décembre

20h30

Samedi 6 décembre

18h

Conception, mise en scène et scénographie Philippe Quesne. Avec (en cours) Marc Susini, Isabelle Angotti, Veronika Vasilyeva-Rije. Textes originaux Laura Vazquez. Costumes Anna Carraud. Technique et construction François Boulet, Marc Chevillon. Son Félix Perdreau. Production Alice Merer.

Production Vivarium Studio 
Coproduction La Commune, centre dramatique national d’Aubervilliers ; Festival d’Automne à Paris ; Théâtre de la Bastille ; Théâtre Garonne – Scène européenne ; Maillon Théâtre de Strasbourg – Scène européenne ; Maison Saint-Gervais – Genève ; Kampnagel Internationale Kulturfabrik (Hambourg) 
Avec le soutien de la Région Île-de-France
La compagnie Vivarium Studio est conventionnée par la Drac Île-de-France – ministère de la Culture
Le Paradoxe de John est présenté à La Commune, CDN d’Aubervilliers, dans le cadre du Pavillon théâtre Philippe Quesne
Avec le soutien de la Fondation d'entreprise Hermès 

La Commune, centre dramatique national d’Aubervilliers, le Théâtre de la Bastille et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation. 

 

Avec le soutien de

Philippe Quesne prolonge ses rêveries sur la place de l’art dans notre vie quotidienne avec une création pour quatre interprètes et des invités, où inventions plastiques et musicales répondent aux circonvolutions de poèmes originaux de Laura Vazquez.

 

Le Paradoxe de John ravive le souvenir d’une des premières pièces du metteur en scène, composant avec elle un diptyque, à 18 ans d’intervalle. En 2007, L’Effet de Serge campait un être solitaire qui, dans son appartement, organisait chaque dimanche des spectacles pour ses amis. Ses miniatures – une à trois minutes – dessinaient un imaginaire poétique et drôle mais aussi un territoire étrange où coexistaient la solitude de l’inventeur mélancolique et l’amitié de son cercle de spectateurs patients. De cette tension entre quête obsessionnelle et besoin de partage émergent aujourd’hui les péripéties d’un personnage affairé à l’aménagement d’une galerie d’art, entouré de ses convives. De l’effet au paradoxe, subsiste l’esprit d’un théâtre de proximité avec le public, témoin d’une composition polyphonique pour humains et non humains. Les textes de la poète et romancière Laura Vazquez en habitent le livret, prolongement évident d’une collaboration entamée avec Fantasmagoria et Le Jardin des Délices, deux pièces présentées au Festival d’Automne en 2022 et 2023.