« Le chorégraphe brésilien Bruno Beltrão retrouve la fougue de ses débuts avec Inoah. Une pièce comme un uppercut. Urgent et nécessaire. » Les Inrockuptibles
« C’est au sol que tout se joue, que se déploie, avec les dix danseurs parfois par entités de deux ou trois, un langage d’une précision inouïe, fait de blocs et de détails, où la virtuosité ne perd jamais son lien au concret, à l’ordinaire, voire au banal, tout en poussant les corps jusqu’à de sidérantes limites. » - La Libre
« Inoah nous offre une brillante démonstration de leur art. Les corps se rapprochent ou se fuient, s’affrontent violemment et puis s’embrassent, rasent le sol pour mieux se lancer vers le ciel. En duos, trios ou tous ensemble en interaction, et sculptés par des lumières rares qui maintiennent le plateau dans une semi-pénombre. Cette danse organique à l’énergie sauvage révèle en même temps une savante complexité. Un spectacle incandescent d’une prodigieuse virtuosité. » - RTBF.be
« Bruno Beltrao est un artiste rare, impatiemment attendu au Festival d’Automne où il laissa il y a quelques années des images indélébiles de sprints arrière infinis et de mélange inouï entre postmodernisme américain tendance Lucinda Childs et breakdance. » Libération
« Ce qui frappe dans les pièces de Beltrão, c'est l'énergie ininterrompue qui les irradie. Et la manière dont les corps, taillés sans complexe dans la vigueur et la sensualité, attaquent l'espace, le dévorent avec des mouvements qui semblent ne jamais devoir finir. » Le Figaro
« Sur le plateau vide dont les entrailles grondent de plus en plus fort, la vitesse de la propagation de la danse est sidérante. Insurrection intime, elle se formalise sans s’arrêter, dans des enchaînements tourbillonnants jamais vus. » Le Monde