Lola Arias

Los días afuera

Théâtre
Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt
3 – 5 octobreoct.
Maison des Arts de Créteil
6 – 7 novembrenov.
1/3

Création 2024

1h45

En espagnol, surtitré en français et en anglais

Tarifs 8 € à 33 €
Abonnés 8 € à 28 €

Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt

Jeudi 3 octobre

20h

Vendredi 4 octobre

20h

Samedi 5 octobre

15h

Maison des Arts de Créteil

Mercredi 6 novembre

20h

Jeudi 7 novembre

20h

Conception, texte et mise en scène Lola Arias. Avec Yoseli Arias, Natal Delfino (en remplacement d'Ignacio Rodriguez), Estefania Hardcastle, Noelia Perez, Paulita Asturayme, Carla Canteros. Musicienne au plateau Inés Copertino. Dramaturgie Bibiana Mendes. Traduction et collaboration artistique Alan Pauls. Scénographie Mariana Tirantte. Chorégraphies Andrea Servera. Musiques Ulises Conti, Inés Copertino. Création et régie lumières, régie générale David Seldes. Équipe de direction technique Facundo David, Matías Pagliocca. Création et régie vidéo Martin Borini. Régie son Ernesto Fara. Régie plateau Roberto Baldinelli, Andrés Perez Dwyer, Manuel Ordenavia. Costumes Andy Piffer. Assistant à la mise en scène Pablo Arias Garcia. Montage de la production et des tournées Emmanuelle Ossena & Lison Bellanger | EPOC productions. Direction de tournée Lucila Piffer. Production, administration Lola Arias Company Mara Martinez. Production, administration en Argentine Luz Algranti & Sofia Medici. Production technique Ezequiel Paredes. Assistants à la mise en scène en Argentine Julián Castro, Florencia Galano. Assistant de production Juan Manuel Zuluaga Bolivar. Assistant à la scénographie Lara Stilstein. Assistant à la régie générale Facundo David. Casting Talata Rodriguez (GEMA Films). Conseil juridique Felix Helou. Travail social Soledad Ballesteros, Matias Coria. Construction du décor Théâtre National Wallonie Bruxelles.

Production Lola Arias company
Production associée Gema Films
Coproduction Complejo Teatral Buenos Aires ; Festival d’Avignon ; Festival d’Automne à Paris ; Théâtre de la Ville-Paris ; Comédie de Genève ; Théâtre National Wallo-nie-Bruxelles ; Festival Tangente St Pölten ; Kaserne Basel ; Maxim Gorki Theater Berlin ; Nationaltheatret (Oslo) ; Scène nationale du Sud-Aquitain ; Le Parvis-scène nationale de Tarbes ; La rose des vents – Scène nationale Lille Métropole Villeneuve-d’Ascq ; NEXT Festival ; Théâtre National de Strasbourg ; Internationales Sommerfestival Kampnagel (Hambourg) ; tnba – Théâtre national de Bordeaux en Aquitaine ; Theater Spektakel Zürich ; Künstlerhaus Mousonturm (Francfort) ; Brighton Festival ; Centre dramatique national Orléans – Centre-Val de Loire 
Avec le soutien du Fonds Transfabrik – Fonds franco-allemand pour le spectacle vivant 

Le Théâtre de la Ville-Paris et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation. 

Lola Arias: La prison, avant/après
À lire sur Mouvement

Entre spectacle musical et documentaire, Lola Arias signe une composition chorale dans laquelle six ancien·ne·s détenu·e·s évoquent leur vie pendant et après leur détention : six destins croisés qui interrogent les formes de violence dans la société contemporaine tout en explorant les marges de la fiction et du réel.

Avant d’écrire et de mettre en scène ce spectacle, Lola Arias s’est rendue dans la prison de femmes d’Ezeiza, dans la province de Buenos Aires, pour y mettre en place un atelier de pratique théâtrale. Il en ressort un film, Reas (Prisonnières), sorti en février 2024, dans lequel quatorze détenu·e·s – femmes cis, hommes et femmes transgenres – évoquent leur existence en milieu carcéral. La même année, elle réunit six des protagonistes du film dans une pièce de théâtre où chacun·e interprète son propre rôle après la prison, évoquant les difficultés du retour à la vie sociale. En détention, la musique et la danse – notamment le rock et le voguing – étaient devenues une forme de résistance et de survie. De cette transformation d’un lieu d’enfermement en lieu de création, Lola Arias tire un spectacle musical et lumineux, conçu à partir des entretiens et du travail d’improvisation mené avec les interprètes, et réinvente par le dialogue, l’échange et la confrontation une forme d’écriture en perpétuel renouvellement.

Dans le même lieu

Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt
13 – 22 septembresept.

Anne Teresa De Keersmaeker, Radouan Mriziga / Rosas, A7LA5
Il Cimento dell’Armonia e dell’Inventione

Danse

Faire entendre Les Quatre saisons de Vivaldi, utiliser les outils de la danse pour affiner l’écoute de ce chef-d’œuvre baroque : c’est le pari relevé par Anne Teresa De Keersmaeker, en collaboration avec le chorégraphe et danseur Radouan Mriziga. Une alliance placée sous le signe de l’abstraction, qui renoue avec l’imaginaire écologique du célèbre concerto.

Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt
23 – 28 septembresept.

Rabih Mroué
Who’s Afraid of Representation?

Théâtre Portrait

Nous sommes en compagnie de figures du Body Art européen (Joseph Beuys, Orlan, Marina Abramović…) via leurs témoignages relatifs aux exhibitions et scarifications publiques pratiquées autour des années 1970. Parallèlement, intervient le récit d’un employé de bureau libanais relatant la tuerie véridique qu’il a perpétrée sur son lieu de travail, arguant de motivations fluctuantes.

Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt
5 – 16 novembrenov.

Robert Wilson
PESSOA – Since I've been me

Théâtre
Réserver

Fernando Pessoa est le héros de cette nouvelle création de Robert Wilson. Un héros paradoxal puisque le poète portugais a passé sa vie à se démultiplier inventant des hétéronymes, auteurs fictifs auxquels il attribuait des œuvres écrites de sa main, imaginant même des relations, amicales ou de maître à disciple, entre ses différents avatars.

Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt
19 – 23 novembrenov.

Jan Martens
VOICE NOISE

Danse
Réserver

Pièce de rupture aux yeux de Jan Martens, VOICE NOISE réunit six danseurs et danseuses pour façonner un paysage sonore composé de quelques-unes des grandes interprètes et compositrices de notre temps. Se demandant comment certaines ont été réduites au silence, le chorégraphe questionne à sa façon, pop et précise, une histoire contemporaine.