Pascal Rambert

Les conséquences

Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt
3 – 15 novembrenov.

Création 2025

2h15

Tarifs 8 € à 34 €
Abonnés 8 € à 29 €

Lundi 3 novembre

20h

Mardi 4 novembre

20h

Mercredi 5 novembre

20h

Jeudi 6 novembre

20h

Samedi 8 novembre

20h

Dimanche 9 novembre

15h

Lundi 10 novembre

20h

Mardi 11 novembre

20h

Mercredi 12 novembre

20h

Jeudi 13 novembre

20h

Samedi 15 novembre

20h

Texte, mise en scène et installation Pascal Rambert. Avec Audrey Bonnet, Anne Brochet, Paul Fougère, Lena Garrel, Jisca Kalvanda, Marilú Marini, Arthur Nauzyciel, Stanislas Nordey, Laurent Sauvage, Mathilde Viseux, Jacques Weber. Lumières Yves Godin. Costumes Anaïs Romand. Musique Alexandre Meyer. Scénographie Aliénor Durand. Collaboration artistique Pauline Roussille. Régie générale Félix Löhmann. Régie lumière Thierry Morin. Régie son Baptiste Tarlet. Régie plateau Antoine Giraud. Habilleuse Marion Regnier. Répétiteur José Pereira. 

Production déléguée structure production (direction : Pauline Roussille ; administration : Sabine Aznar) 
Coproduction Théâtre national de Bretagne ; Le Cratère – Scène nationale d’Ales ; Festival d’Automne à Paris ; Théâtre de la Ville-Paris ; Bonlieu Scène nationale Annecy ; TNN – Théâtre National de Nice

Le Théâtre de la Ville-Paris et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation. 

Pascal Rambert, auteur et metteur en scène majeur de sa génération, s’entoure de fidèles compagnons de route pour porter à la scène une fresque ambitieuse sur le temps qui passe et les liens familiaux. Conçue comme une trilogie sur cinq ans, elle explore les traces laissées par nos engagements et nos ruptures.

 

Les conséquences aborde la question du temps qui transforme les êtres, en tant que corps, mondes psychiques, collections de comportements, pour examiner de près les retentissements de nos actes. Sans surplomb, sans morale, c’est à l’horizontale que Pascal Rambert perce d’un regard acéré la sphère mouvante des relations familiales, amoureuses, amicales, et la portée de l’expérience à l’endroit des engagements, sociaux, politiques ou sentimentaux. De ce temps qui nous traverse comme une flèche, l’artiste met à nu le flux tendu, à la fois fulgurant et marqué de pierres anguleuses, en effeuillant la pièce sous quatre chapitres qui alternent à vive allure mariages et funérailles. À l’occasion de ces rites de passage se rassemble une famille de trois générations dans un grand barnum de toiles blanches, l’espace d’une dizaine d’années filantes, avec ses lots de joies, de douleurs, d’espoirs, de renoncements, ces reliefs extrêmes de la vie qui font la matière théâtrale de la langue de Rambert, plus incisive que jamais. 

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