Vendredi 28 novembre
20h
Samedi 29 novembre
15h
Dimanche 30 novembre
00h
Conception, direction musicale, scénographie et mise en scène Nina Laisné. Chorégraphie et collaboration artistique François Chaignaud. Conseil musical, collaboration artistique Nadia Larcher. Avec François Chaignaud, Nadia Larcher. Sacqueboute ténor, serpent et flûte Rémi Lécorché. Sacqueboute ténor Nicolas Vazquez. Sacqueboute ténor et basse Cyril Bernhard. Bandonéon Jean-Baptiste Henry. Théorbe et cordes pincées Daniel Zapico. Percussions traditionnelles Vanesa Garcia. Création lumière Abigail Fowler. Régie générale Sara Ruiz Marmolejo. Régie plateau Hervé Bailly. Régie lumière Abigail Fowler. Régie son Camille Frachet, Alice Le Moigne. Régie costumes Cara Ben Assayag. Assistanat scénographie Julie Reilles. Construction des décors Théâtre de Liège. Conception des costumes Sarah Duvert, Florence Bruchon. Confection des costumes Théâtre de Liège, Opéra de Limoges.
Production Zorongo (Martine Girol, Valentina Salazar Henao) ; Mandorle productions (Chloé Perol, Jeanne Lefèvre et Emma Forster)
Diffusion Bureau Platô (Séverine Péan)
Coproduction (en cours) Théâtre de Liège ; Les 2 Scènes – Scène nationale de Besançon ; Le Quartz – Scène nationale de Brest ; Maison de la Danse de Lyon – Pôle européen de création, en soutien à la Biennale de Lyon ; PACT Zollverein (Essen) ; Festival d’Automne à Paris ; Chaillot – Théâtre national de la Danse ; Théâtre de la Ville-Paris ; Berliner Festspiele ; Théâtre Auditorium de Poitiers, Scène nationale ; December Dance (Bruges) ; Le Grand R – Scène nationale de La Roche-sur-Yon ; Charleroi danse – Centre chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles ; Opéra de Limoges ; Julidans (Amsterdam) ; Le Manège, scène nationale – Reims ; La Comédie de Clermont-Ferrand – Scène nationale ; Malraux scène nationale Chambéry Savoie ; MC2: Maison de la Culture de Grenoble – Scène nationale ; Bonlieu Scène nationale Annecy ; Château Rouge, Scène conventionnée Annemasse ; Theater Freiburg ; Oriente occidente (Rovereto) ; Théâtre Vidy-Lausanne ; Festival Musica ; Maillon Théâtre de Strasbourg – Scène européenne ; POLE-SUD – CDCN ; Filature – Scène nationale ; Théâtre Garonne – Scène européenne
Le spectacle bénéficie du soutien du Tax Shelter du Gouvernement fédéral de Belgique, de Inver Tax Shelter et du programme Interreg France-Suisse n°20919 – LACS – Annecy-Chambéry-Besançon-Genève-Lausanne
Accueils en résidence la Ménagerie de verre ; CND – Centre national de la danse
Mandorle productions est subventionnée par la Drac Auvergne-Rhône-Alpes – ministère de la Culture et la Région Auvergne-Rhône-Alpes
Zorongo est subventionnée par la Drac Bourgone-Franche-Comté – ministère de la Culture
François Chaignaud est artiste associé à Chaillot – Théâtre national de la Danse, à la Maison de la Danse et à la Biennale de Lyon
Nina Laisné est artiste associée au Quartz – Scène nationale de Brest
Chaillot – Théâtre national de la Danse, le Théâtre de la Ville-Paris et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.
Après Romances inciertos, un autre Orlando, Nina Laisné et François Chaignaud prolongent leur utopie de fusion entre danse et musique à partir de répertoires sud-américains. En compagnie de la chanteuse argentine Nadia Larcher, ils composent un univers cosmogonique, où les voix entrent en résonance avec le souffle des sacqueboutes et les rythmes du zapateo.
Dans la continuité de son travail de recherche sur les répertoires folkloriques et leurs combinaisons, Nina Laisné s’est penchée sur la richesse des traditions musicales argentines et péruviennes. En partant de l’iconographie et des partitions du codex de Trujillo, elle a rêvé l’extraction d’un monde englouti – entre récit des commencements et méditation sur la mémoire des gestes. Sur scène, la chanteuse et autrice Nadia Larcher et le chorégraphe François Chaignaud accompagnés de six musiciens mobiles matérialisent cette allégorie des origines : créatures mythologiques – animales ou végétales – sibylles divinatrices interrogeant le futur et la puissance des croyances. Dans un incessant chassé-croisé d’airs, de pas – où les canarios s’emmêlent au malambo – ces deux corps s’éveillent, se transforment et nous entraînent dans un tourbillon de récits et de matières : une procession de danses flamboyantes qui emportent tout l’orchestre. Les frontières entre passé, présent et futur, danse, chant, et instruments s’effacent, faisant vibrer des timbres anciens dans des corps contemporains.
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