Séverine Chavrier

Occupations

T2G Théâtre de Gennevilliers – Centre Dramatique National
4 – 15 décembredéc.

Première française

1h45

Tarifs 8 € à 24 €
Abonnés 8 € à 18 €

T2G Théâtre de Gennevilliers – Centre Dramatique National

Jeudi 4 décembre

20h

Vendredi 5 décembre

20h

Samedi 6 décembre

18h

Dimanche 7 décembre

16h

Lundi 8 décembre

20h

Jeudi 11 décembre

20h

Vendredi 12 décembre

20h

Samedi 13 décembre

18h

Dimanche 14 décembre

16h

Lundi 15 décembre

20h

Mise en scène et son Séverine Chavrier. Corpus de texte Annie Ernaux, Marguerite Duras, Elfried Jelinek, Constance Debré. Vidéo Quentin Vigier. Son Simon d’Anselme de Puisaye. Scénographie Louise Sari. Avec (distribution en cours) Jimy Lapert. En collaboration étroite avec les équipes administratives, techniques et de production de la Comédie de Genève. 

Production Comédie de Genève
Coproduction (en cours) T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique National

Le T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique National et le Festival d’Automne à Paris présentent ce spectacle en coréalisation.

Quelles sont les nouvelles politiques de l’amour ? Quelle part de transgression et de politique engage l’acte amoureux ? Après Absalon, Absalon!, Séverine Chavrier s’intéresse à l’intime et au désir féminin dans Occupations.

 

S’appuyant sur un vaste corpus — de Duras à Ernaux, en passant par Jelinek et Debré —, la metteuse en scène poursuit son exploration des tensions entre visible et caché, à travers un dispositif qui interroge les rapports entre ancien et contemporain, numérique et livresque, muséification et quotidien ordinaire. Elle dessine une cartographie singulière, où la résistance féministe ne prend pas toujours les formes d’une autonomisation productive, mais parfois d’un dangereux abandon, d’une anomie temporaire. Qui peut aujourd’hui céder à la passion au point d’en devenir le jouet morbide ? Au prix de quelle dangerosité, de quel activisme sous-jacent ? Séverine Chavrier envisage l’écriture et le théâtre comme un acte performatif de réappropriation corporelle, capable de reconfigurer les modes contemporains de l’amour et du désir, en dehors des cadres normatifs occidentaux. Pour sa première collaboration avec le Festival d’Automne, l’artiste renoue avec une forme plus intime, plus épurée — mais non moins percutante. 

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