Lia Rodrigues, Nacera Belaza

À l’invitation de la Casa do Povo, Yael Bartana a créé en 2024 une œuvre vidéo tournée au TAIB, théâtre majeur de la scène de São Paulo, aujourd’hui fermé, situé dans le sous-sol de la Casa do Povo.

La Cour des petits-parents est un espace de jeu et de soin pour enfants et parents imaginé par l’artiste et éducatrice Graziela Kunsch, en lien avec la pédagogie d’Emmi Pikler et les expérimentations d’Ute Strub avec le sable. 

Le projet Publication Studio Métallos naît de la collaboration entre Publication Studio Paris / After 8 Books et Publication Studio São Paulo / Parquinho Gráfico, structure installée à la Casa do Povo.

Inspiré de l'ouvrage éponyme de l’anthropologue français Bruce Albert et du chaman yanomami Davi Kopenawa, La Chute du Ciel nous plonge au cœur de la cosmologie de ce peuple.

Depuis quatre ans, le Festival d’Automne ouvre sa programmation à des artistes ou collectifs, posant un geste à la fois artistique et politique. La Carte Blanche devient un terrain d’expérimentation, propice aux croisements d’esthétiques, à la circulation des idées et du public. Durant deux semaines, le Festival invite la Casa do Povo, singulier centre d’art brésilien, à investir la Maison des Métallos dans le 11^e arrondissement de Paris. À cette occasion, le Festival d’Automne expérimente de nouvelles formes de convivialité, et inaugure pour la première fois un QG, ouvert aux bouleversements et à une réinvention collective.

Pendant toute la durée de la Carte Blanche du Festival d’Automne, la Maison des Métallos installe un ring de boxe en plein cœur de son hall.

Ancré dans les cultures africaines et afro-brésiliennes, des membres du collectif Ilú Obá de Min viennent pour la première fois à Paris. Fondé en 2004, ce collectif réunit aujourd’hui près de 400 femmes et ouvre chaque année le carnaval de São Paulo avec ses percussions, ses danseuses et échassiers, rendant toujours hommage à des figures féminines noires.

Dans le cadre des Journées européennes du patrimoine et de la Carte Blanche Casa do Povo, la Maison des Métallos propose des Balades des Communs. Cet événement invite les habitants, habitantes à partir à la rencontre de celles et ceux qui font vivre et bouger le quartier.

Artiste majeure de la scène théâtrale contemporaine, l’autrice, metteuse en scène et interprète Carolina Bianchi propose un atelier d’une journée autour des textes de Sarah Kane et de ses recherches, mêlant lecture et pratique de l’écriture.

La chorégraphe brésilienne Lia Rodrigues est de retour avec Borda, création qui marque et célèbre les 35 ans d’existence de la Lia Rodrigues Companhia de Danças, installée dans la favela de Maré à Rio de Janeiro depuis 2004.

Depuis plusieurs années, la Casa do Povo collabore avec le village Kalipety, situé dans la Terre Indigène (TI) Tenondê Porã du peuple Guarani Mbya, à l’extrême sud de São Paulo.  À l’approche de la COP de Belém, la Carte Blanche du Festival d’Automne devient une occasion de renforcer en France de nouvelles solidarités autour des luttes amérindiennes. En mai dernier, deux membres du village sont venus effectuer, dans les jardins d’Artagon Pantin, une cérémonie traditionnelle de plantation de maïs créole. 

La rencontre entre la comédienne Valérie Dréville et Nacera Belaza a été une évidence. Depuis longtemps, la chorégraphe explorait cette zone trouble où se situe le « point de jonction » entre la parole et le langage qui anime le corps. Valérie Dréville s’est révélée être une partenaire tout aussi habitée par l’imaginaire et une forte intériorité.

Né dans les quartiers sud de Los Angeles au début des années 2000, le krump est une danse d’improvisation, fondée sur des mouvements percussifs, des isolations corporelles et une forte charge émotionnelle. Pratique d’émancipation et de transformation, elle canalise les tensions individuelles et collectives à travers le corps.

La metteuse en scène brésilienne Martha Kiss Perrone, proche collaboratrice de la Casa do Povo, conduit la résidence malade.vital.

Pour clôturer cette Carte blanche du Festival d’Automne, la Maison des Métallos se transforme en terrain de fête, de pensée et de danse.

Pour la quatrième création de la collection de performances contemporaines du Musée du Louvre et du Festival d’Automne, Nacera Belaza présente Les Ombres. Elle investira la Galerie des Cinq Continents à l'occasion de sa réouverture, dans une présentation repensée des collections, en dialogue avec les œuvres du musée du quai Branly-Jacques Chirac.

Dans une performance aux frontières du rituel, la metteuse en scène et chercheuse brésilienne Gabriela Carneiro da Cunha travaille avec les processus chimiques de la photographie pour révéler la contamination au mercure du fleuve Tapajós. 

Un même élan vital de danser rassemble les chorégraphes Nacera Belaza et Katerina Andreou. Elles se répondent dans un diptyque conçu pour les interprètes du Ballet de l’Opéra de Lyon, avec deux créations que réunissent de multiples résonances.

Inspiré de l'ouvrage éponyme de l’anthropologue français Bruce Albert et du chaman yanomami Davi Kopenawa, La Chute du Ciel nous plonge au cœur de la cosmologie de ce peuple.

À l’invitation de la Casa do Povo, Yael Bartana a créé en 2024 une œuvre vidéo tournée au TAIB, théâtre majeur de la scène de São Paulo, aujourd’hui fermé, situé dans le sous-sol de la Casa do Povo.

La Cour des petits-parents est un espace de jeu et de soin pour enfants et parents imaginé par l’artiste et éducatrice Graziela Kunsch, en lien avec la pédagogie d’Emmi Pikler et les expérimentations d’Ute Strub avec le sable. 

Depuis quatre ans, le Festival d’Automne ouvre sa programmation à des artistes ou collectifs, posant un geste à la fois artistique et politique. La Carte Blanche devient un terrain d’expérimentation, propice aux croisements d’esthétiques, à la circulation des idées et du public. Durant deux semaines, le Festival invite la Casa do Povo, singulier centre d’art brésilien, à investir la Maison des Métallos dans le 11^e arrondissement de Paris. À cette occasion, le Festival d’Automne expérimente de nouvelles formes de convivialité, et inaugure pour la première fois un QG, ouvert aux bouleversements et à une réinvention collective.

Le projet Publication Studio Métallos naît de la collaboration entre Publication Studio Paris / After 8 Books et Publication Studio São Paulo / Parquinho Gráfico, structure installée à la Casa do Povo.

Pendant toute la durée de la Carte Blanche du Festival d’Automne, la Maison des Métallos installe un ring de boxe en plein cœur de son hall.

Un groupe de personnes se réunit autour d’une table pour un dernier repas. L’un d’eux annonce sa mort imminente. Inspiré par la Cène, le collectif MEXA convie le public de la Carte Blanche Casa do Povo à une performance-banquet, interrogeant la mémoire des disparus et la nécessité de raconter leurs histoires.

Ancré dans les cultures africaines et afro-brésiliennes, des membres du collectif Ilú Obá de Min viennent pour la première fois à Paris. Fondé en 2004, ce collectif réunit aujourd’hui près de 400 femmes et ouvre chaque année le carnaval de São Paulo avec ses percussions, ses danseuses et échassiers, rendant toujours hommage à des figures féminines noires.

Dans le cadre des Journées européennes du patrimoine et de la Carte Blanche Casa do Povo, la Maison des Métallos propose des Balades des Communs. Cet événement invite les habitants, habitantes à partir à la rencontre de celles et ceux qui font vivre et bouger le quartier.

Artiste majeure de la scène théâtrale contemporaine, l’autrice, metteuse en scène et interprète Carolina Bianchi propose un atelier d’une journée autour des textes de Sarah Kane et de ses recherches, mêlant lecture et pratique de l’écriture.

La metteuse en scène brésilienne Martha Kiss Perrone, proche collaboratrice de la Casa do Povo, conduit la résidence malade.vital.

Pour clôturer cette Carte blanche du Festival d’Automne, la Maison des Métallos se transforme en terrain de fête, de pensée et de danse.

Né dans les quartiers sud de Los Angeles au début des années 2000, le krump est une danse d’improvisation, fondée sur des mouvements percussifs, des isolations corporelles et une forte charge émotionnelle. Pratique d’émancipation et de transformation, elle canalise les tensions individuelles et collectives à travers le corps.