Vendredi 26 septembre
19h30
Samedi 27 septembre
18h30
Vendredi 3 octobre
19h30
Samedi 4 octobre
18h30
Dimanche 5 octobre
15h30
Mardi 7 octobre
19h30
Mercredi 8 octobre
19h30
Jeudi 9 octobre
19h30
Samedi 11 octobre
16h30
Jeudi 6 novembre
20h
Chorégraphie, conception son et lumière Nacera Belaza. Avec Valérie Dréville, Nacera Belaza. Régie générale Christophe Renaud. Son Marco Parenti.
Production Compagnie Nacera Belaza ; MC93 – Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis
Coproduction Festival d’Automne à Paris ; De Singel (Anvers) ; Charleroi danse – Centre chorégraphique de la Fédération Wallonie-Bruxelles ; Chaillot – Théâtre national de la Danse ; Théâtre Vidy-Lausanne ; Mille Plateaux, CCN La Rochelle
La compagnie est soutenue par la Drac Île-de-France – ministère de la Culture au titre de compagnie conventionnée et par la Région Île-de-France au titre de la permanence artistique et culturelle
Nacera Belaza est artiste associée à Chaillot – Théâtre national de la Danse
La MC93 – Maison de la Culture de Seine-Saint-Denis, Chaillot – Théâtre national de la Danse et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.
La rencontre entre la comédienne Valérie Dréville et Nacera Belaza a été une évidence. Depuis longtemps, la chorégraphe explorait cette zone trouble où se situe le « point de jonction » entre la parole et le langage qui anime le corps. Valérie Dréville s’est révélée être une partenaire tout aussi habitée par l’imaginaire et une forte intériorité.
Par sa cohérence tout au long de trente années, le travail de Nacera Belaza constitue un chemin de création dont la singularité n’a d’équivalent que les recherches d’avant-garde des années 1970. À l’occasion d’une rencontre organisée par la MC93, la chorégraphe et la comédienne Valérie Dréville ont entamé un travail inédit autour du corps comme réceptacle de l’imaginaire – la capacité d’expression de la danse qu’elle conçoit comme « une parole dans le corps » ayant toujours été pour la chorégraphe un ressort de son travail. Une complicité instinctive est née, portée par la densité intérieure de la femme de théâtre et sa capacité à incarner la parole dans le corps. Il s’agissait alors d’approfondir cette résonance, de dévoiler les échos souterrains reliant leurs deux mondes artistiques.
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