Joël Pommerat
Marius
14 – 16 novembrenov.
19 – 20 novembrenov.
29 novembrenov. – 8 décembredéc.
12 – 14 décembredéc.
18 – 19 décembredéc.
Jeudi 14 novembre
20h
Vendredi 15 novembre
20h
Samedi 16 novembre
20h
Mardi 19 novembre
19h
Mercredi 20 novembre
20h
Vendredi 29 novembre
20h
Samedi 30 novembre
19h
Dimanche 1 décembre
16h
Mardi 3 décembre
20h
Mercredi 4 décembre
20h
Jeudi 5 décembre
20h
Vendredi 6 décembre
20h
Samedi 7 décembre
18h
Dimanche 8 décembre
16h
Jeudi 12 décembre
20h30
Vendredi 13 décembre
20h30
Samedi 14 décembre
18h
Mercredi 18 décembre
20h30
Jeudi 19 décembre
20h30
Une création théâtrale de Joël Pommerat, librement inspirée de la pièce de Marcel Pagnol, en collaboration avec Caroline Guiela Nguyen, Jean Ruimi. Avec Damien Baudry, Élise Douyère, Michel Galera, Ange Melenyk, Redwane Rajel, Jean Ruimi, Bernard Traversa, Ludovic Velon Scénographie et lumière Éric Soyer. Assistante à la mise en scène Lucia Trotta. Assistant à la mise en scène Guillaume Lambert. Direction technique Emmanuel Abate. Adjointe à direction technique Thaïs Morel. Costumes Isabelle Deffin. Création sonore Philippe Perrin, François Leymarie. Renfort assistant David Charier. Régie son Philippe Perrin, Fany Schweitzer. Régie lumière Jean-Pierre Michel. Régie plateau Ludovic Velon. Construction décors Thomas Ramon – Artom. Accessoires Frédérique Bertrand. Accompagnement Jérôme Guimon de l’association Ensuite.
Production Compagnie Louis Brouillard
Coproduction la MC93 – Maison de la culture de Seine-Saint-Denis ; La Coursive – Scène nationale de La Rochelle ; Théâtre Brétigny, scène conventionnée d’intérêt national ; Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise ; Printemps des Comédiens ; Festival d’Automne à Paris
Avec le soutien de la Fondation d’entreprise Hermès, de l’association Ensuite, et de la Scène nationale de l’Essonne.
Ce spectacle n’aurait pas vu le jour sans le soutien logistique, financier et moral de ses partenaires précieux, qui ont permis les restitutions publiques en 2017 au sein de la maison centrale d’Arles malgré toutes les difficultés à surmonter : la maison centrale d’Arles ; compagnie Les Hommes Approximatifs ; Théâtre d’Arles, scène conventionnée d’intérêt national – art et création – nouvelles écritures ; La Garance – Scène nationale de Cavaillon ; Jean-Michel Grémillet ; SPIP 13 ; Direction interrégionale des services pénitentiaires PACA ; Direction et personnels de la Maison Centrale ; Équinoxe – Scène nationale de Châteauroux ; Printemps des Comédiens ; MC93 – Maison de la culture de Seine-Saint-Denis ; CNDC de Châteauvallon – Scène nationale ; La Coursive – Scène nationale de La Rochelle ; Théâtre Olympia – Centre dramatique national de Tours ; Le Merlan – Scène nationale de Marseille ; La Criée, Théâtre national de Marseille ; Le Théâtre de la Porte-Saint-Martin ; Fondation E.C.Art Pomaret ; Fondation d’entreprise Hermès
La MC93 – Maison de la culture de Seine-Saint-Denis, Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise et le Festival d’Automne à Paris sont coproducteurs de ce spectacle et le présentent en coréalisation.
Rencontre avec les artistes
Vendredi 15 novembre, à l'issue de la représentation à Points communs – Théâtre des Louvrais.
Ce spectacle, inspiré de l’œuvre de Marcel Pagnol, explore le thème de l’évasion. Certains des comédiens ont découvert le théâtre à la maison centrale d’Arles. Marius offre une occasion unique de découvrir une dimension peu connue mais cruciale de l’art de Joël Pommerat.
À Marseille, Marius travaille dans la boulangerie de son père, où il rêve de voyage et fait face à un dilemme : prendre le large ou rester auprès de celles et ceux qu’il aime. Pour réécrire et mettre en scène ce texte de Pagnol – présenté dans une première version en milieu carcéral –, Joël Pommerat fait appel à l’imagination des interprètes pour proposer une interprétation contemporaine de la pièce. À la manière d’un conte, le spectacle nous confronte à des questions essentielles : comment réussir sa vie ? L’amour est-il possible ? Est-il raisonnable de céder au désir de fuite ? « Adapter, réécrire et ne pas trahir. » Loin de l’original, cette adaptation de Joël Pommerat – invité pour la première fois au Festival d’Automne – livre une version âpre, intense, parfois brutale mais surtout d’une vérité saisissante de l’œuvre.
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